La mission principale du Parc est de mener des innovations et des expérimentations, dans différents domaines, afin d’inventer des solutions pour un territoire durable. Reconnu pour son expertise, le Parc est un label de qualité, notamment dans les domaines de l’éducation au territoire, de l’aménagement, des paysages et de la biodiversité.
Mis en place avec une chercheuse-doctorante, il étudie l’histoire industrielle de la vallée de la Seine, entre Duclair et Caudebec-en-Caux (Rives-en-Seine). Souvent mal connue, l’histoire de ces entreprises a pourtant façonné nos paysages au cours du XXe siècle. Ell a transformé l’urbanisation de la vallée de la Seine et bousculé les traditions agricoles et artisanales.
Le Parc a pour missions la protection des paysages et du patrimoine naturel, mais aussi l’aménagement du territoire et le développement économique. Il se doit donc de résoudre cette équation. Comment favoriser le développement économique du territoire sans prélever encore sur son capital naturel remarquable et fragile ? Afin d’accompagner au mieux les collectivités et les entreprises dans leur projet d’aménagement, le Parc mène donc une démarche de réflexion prospective. Elle vise à anticiper les besoins en matière d’évitement, de réduction et de compensation des impacts des projets d’aménagement.
Grâce au Programme européen LEADER avec les intercommunalités, une enveloppe de 3,15 millions d’euros est attribuée sur la période 2016 – 2020 pour soutenir des projets innovants (public ou privés). Ils doivent être en lien avec l’économie de proximité et les services à la population, au prisme du développement durable et de l’innovation.
L’Agence de l’Eau Seine Normandie finance une équipe de d’une douzaine d’agents. Les zones humides représentent 24 % du territoire du Parc. Elles recèlent une faune et une flore exceptionnelle. Le Parc détermine, en concertation avec ses partenaires, des modes de gestion permettant de garantir l’équilibre de ces milieux. Pour ce faire, il met en place quelquefois des techniques de pointe. Par exemple, l’ADN environnemental consiste à identifier, par le prélèvement et l’analyse biologique d’échantillons d’eau, quelles espèces fréquentent le milieu.